Petite navigation de 14 milles nautiques depuis Norman Island avec un vent presque arrière pour rejoindre l'île du fameux pirate hollandais Jost Van Dyke.
Premier arrêt au bord de la plage de White Bay, protégée par une barrière de corail à l'entrée, ce mouillage est très couru par les bateaux de plaisance. C'est une des plus belles plages des BVI. C'est aussi là que l'on retrouve The Soggy Dollar bar d'où vient le fameux «pain killer», boisson locale à base de rhum qui ressemble au pina colada mais sans la fameuse slush!
Nous avons bien sûr siroté cette boisson au rythme d'un band live rasta au One love bar...
Barrière de corail, veut dire eaux protégées, claires, d'un bleu turquoise incroyable.
Antoine qui essaie d'aller rejoindre une des tortues qui s'amusaient à broutter l'herbe près du bateau.
Un séjour à Jost Van Dyke ne peut être complet sans une soirée chez Foxy's. Ce célèbre bar resto située dans la baie de Great Harbour est réputée pour ces week-end endiablés. (C'est apparemment un des top 5 bar dans le monde pour fêter le jour de l'an..avis aux intéressés!)
La réputation n'est pas surfaite, l'ambiance et la bonne bouffe étaient au rendez-vous. Nous avons même été témoin d'une performance solo assez inusitée du capitaine qui s'est fait attrapé dans un concours de «Stroke dancing» , du meilleur déhanchement suggestif...
J'étais sans voix! Ceux qui connaissent Bruno savent qu'il est plus du style «en retrait». J'en ai oublié, malheureusement pour vous, de prendre une photo!
Après une bonne nuit de sommeil bien mérité..nous faisons un arrêt lunch à Sandy Cay, île déserte qui nous faisait beaucoup penser à Sandy Island d'Anguilla (la «Sandy» où nous avions perdu le bateau l'an passé - ça marque un gars pour toujours).
Très étroit passage entre Jost Van Dyke et Little JVD où nous avons eu la chance de voir un... requin. J'étais (Bruno) dans à peine 2 à 3 pieds d'eau avec masque et tuba alors que Antoine, sur la plage était en train de dire à Yves incrédule qu'il venait d'apercevoir un aileron de requin. 10 secondes plus tard le courageux capitaine se lève d'un bond dans l'eau qui lui recouvre tout juste les mollets en criant : «SHARK ! SHARK ! C'est fou comme on peut ne pas se sentir dans son élément devant la silhouette d'un poisson à grandes dents.
Il faut peut-être l'avoir vu de ses yeux pour en comprendre l'émotion.
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